Urdapilleta n'en a pas fini avec le rugby. Du moins pas encore. Après son départ de Clermont et sa retraite professionnel, l'ouvreur a tout de même choisi de rechausser les crampons en Argentine.
Benjamin Urdapilleta a décidé de retrouver les couleurs de son club formateur, à Buenos Aires. Un parcours qui rappelle celui d'un certain Loann Goujon récemment, de retour avec son club formateur lui-aussi, pour la saison prochaine.
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Buteur même en Argentine
Retraité depuis le barrage de Top 14 perdu à Bayonne, Urdapilleta est rentré en Argentine. Ce week-end, il a disputé une rencontre avec son club formateur du CUBA Rugby (Club Universario Buenos Aires) où il y a passé 15 ans.
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Il a participé à un match de Top 12 Superior de l'URBA, le championnat élite de Buenos Aires, la capitale argentine. Le CUBA Rugby affrontait le leader Belgrano. Urdapilleta a fait valoir ses talents de buteur durant la rencontre, inscrivant trois transformations.
Talents qui ont fait de lui le deuxième meilleur réalisateur de l'histoire du Top 14 avec 2515 points inscrits, derrière Romain Teulet et ses 2612 points inscrits. Cependant, l'ancien Castrais n'a pas pu empêcher la défaite des siens (31-41).
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"Bien plus dur que ce que j'imaginais"
C'est une adaptation express qu'a vécu l'ancien Puma (19 sélections), s'entraînant avec ses nouveaux coéquipiers depuis seulement une semaine. De plus, il "ne connaissai[t] pas beaucoup de joueurs dans l'équipe" et a donc dû "apprendre les prénoms rapidement".
S'il a pris du plaisir sur le terrain, Urdapilleta a été "agréablement surpris" par le niveau de jeu, qu'il juge "bien plus dur" que ce qu'il imaginait. Les contacts sont physiques et "le jeu va très vite", raconte-t-il à un média local. Comme beaucoup de ses anciens compères professionnels, Urda n'en a pas fini avec le rugby à bientôt 40 ans.
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