

Attendu à Rome pour son grand retour après trois mois de suspension pour dopage, Jannik Sinner sait qu’il doit frapper un grand coup. Pour ce faire, l’Italien n’omet aucun aspect du jeu et mise à la fois sur le mental et la technique.
S’il affirme au micro de Gian Marco Chiocci pour Rai Uno, chaîne phare de l’information italienne, faire un travail sur sa gestion des émotions sur le court, le numéro 1 mondial s’inspire visiblement d’Alcaraz et Musetti pour leur maîtrise du petit jeu.
« Jouer au tennis, c’est comme jouer au poker. Quand vous voyez que l’autre a des difficultés, cela vous donne de la confiance et du courage. Il y a des moments où je ne sens pas le jeu, je suis nerveux parce que je veux me montrer que je suis capable, il y a beaucoup de moments où tout ne se passe pas parfaitement. En fin de compte, c’est un jeu et au tennis, il faut le jouer, détruire la balle ou casser la raquette ne fonctionne pas. Mon coup préféré est probablement mon revers, qui est le plus solide. Le service doit être amélioré, mais j’envie le toucher de Carlos Alcaraz et Lorenzo Musetti qui sentent très bien la balle. »
Publié le jeudi 1 mai 2025 à 13:15