

Après avoir hésité un moment, Carlos Alcaraz a décidé d’imiter Jannik Sinner et Novak Djokovic en se retirant du Masters 1000 de Toronto. Un choix logique motivé par le fait de prendre un maximum de repos après une période intense marquée par son sacre à Roland‐Garros et au Queen’s et sa finale perdue à Wimbledon.
À propos de son titre à Paris où il a sauvé trois balles de match d’affilée face à son rival italien, l’actuel 2e joueur mondial est revenu sur cette victoire un peu miraculeuse.
« J’y pense souvent et je ne sais toujours pas comment j’ai pu faire basculer ce match. La vérité, c’est que dans le sport, mais pas seulement dans le sport, il faut continuer à y croire, y croire jusqu’au bout. Le tennis est un chemin long et exigeant, et vous êtes complètement seul avec vos pensées. La clé, lors de la finale de Roland Garros contre Jannik, c’était cela : penser que l’on peut gagner le match, même dans les moments les plus difficiles, sans se laisser abattre ».
Publié le mercredi 23 juillet 2025 à 19:45