
Vainqueur de Roland-Garros en 2017 après avoir battu Simona Halep en finale, Jelena Ostapenko n’a depuis pas eu une seule opportunité de remporter un autre titre du Grand Chelem.
La Lettone, qui apprécie jouer sur terre battue, comme en témoigne son titre remporté à Stuttgart en avril, a accordé une interview pour le site du tournoi, à quelques jours du début du tableau principal. Elle considère être l’une des outsiders de cette édition 2025 :
« Comme je l’ai dit, ne me sous-estimez pas. J’ai toujours su que je pouvais bien jouer sur terre battue. Je sais me déplacer et glisser. Je dois juste me concentrer sur ce que j’ai à faire. Je pense que tout est une question de travail, plus que de classement. Quand le déclic se fera et que tout se mettra en place, le résultat sera là. »
Ostapenko, 21e mondiale cette semaine, est aussi revenue sur la période délicate qu’elle a connue entre sa finale à Doha et son titre à Stuttgart :
« Je voulais que la saison sur dur se termine au plus vite, parce que je n’aime pas vraiment cette surface pour être honnête. Les tournois du Moyen-Orient (Abu Dhabi, Doha et Dubaï) sont vraiment géniaux, Indian Wells également, mais Miami n’est pas l’un de mes tournois préférés.
Je voulais que ça se termine vite, surtout que je n’ai pas bien joué lors de ces deux derniers tournois. À Charleston, tout s’est bien passé, j’ai gagné le double et pris confiance en moi. »