
Evidemment en ce moment le tennis italien est au sommet et tous les spécialistes vantent leur système de formation basé sur une forte culture de club qui sont majoritairement privés et une densité forte de tournois sur le territoire pour permettre aux jeunes de très vite pouvoir se former au haut‐niveau. Ce cocktail explosif permet donc à l’Italie d’être présente ne force dans le Top 100. C’est le constat que fait l’ancien joueur Paolo Bertolucci. En revanche son raccourci concernant la France est un peu gratuit.
« Je pense que ce sont des moments, des cycles. Parfois, c’est du côté des hommes, parfois du côté des femmes. Il y a quelques années, nous avions une équipe très forte chez les femmes. Il y a des nations, comme la Suède autrefois, qui ont complètement disparu de la scène mondiale. Puis il y a l’Espagne, qui a toujours produit des joueurs. Aujourd’hui, la France est en crise. Et maintenant, c’est à notre tour d’être au sommet du monde, alors profitons de ces années »
Avec 14 joueurs dans le Top 100 contre 8 pour les transalpins, le mot crise semble peu approprié.
Publié le lundi 1 décembre 2025 à 09:47