

L'OM aurait certainement pu ramener au moins un point du Portugal si Roberto De Zerbi avait mieux géré les changements.
L’excellente dynamique de l’Olympique de Marseille s’est arrêtée mercredi soir, au stade José Alvalade. Lors de la troisième journée de la phase de ligue de la Ligue des champions, le club phocéen menait pourtant à la pause face au Sporting Portugal.
L’expulsion d’Emerson Palmieri a probablement été le tournant de cette rencontre, que les locaux ont fini par remporter (2-1). Roberto De Zerbi possède une bonne part de responsabilité dans cette défaite selon Daniel Riolo.
« On peut se poser des questions sur la façon dont De Zerbi a géré ce moment-là. La gestion du match de De Zerbi est plus que critiquable, elle est totalement ratée. Mais dans l’ordre des responsabilités, ça reste Emerson, qui a fait une grosse connerie. Le coach doit normalement être là pour te rattraper », a expliqué le journaliste sportif après le match sur les ondes de RMC.
De Zerbi, des changements incompréhensibles
Et l’acolyte de Gilbert Brisbois d’enfoncer le clou : « Il a vraiment été très mauvais. S’il faut vraiment sortir un joueur, je sors Aubameyang. Jamais je ne sors Greenwood de ce match. Comment c’est possible ? Je n’ai pas compris et je n’ai pas compris le reste. Il s’est enlevé des possibilités de contre-attaques pour verrouiller. Ça n’a absolument pas marché ».
Au classement de la phase de ligue de Ligue des champions, l’OM se trouve désormais au 18e rang, qui correspond à une place de barragiste. Samedi, un nouveau déplacement périlleux attend le vice-champion de France, qui se déplacera à Lens pour le compte de la neuvième journée de Ligue 1.