

Poussé par son coach, Juan Carlos Ferrero, à devenir un joueur plus rigoureux et travailleur, Carlos Alcaraz, en élève bien élevé et désireux de devenir le meilleur joueur possible et même de l’histoire, s’est exécuté sans broncher.
Bien lui en a pris puisque comme il le reconnaît lui‐même, il n’a jamais été aussi fort et compétitif. Un aveu assez épatant et bourré de maturité de la part d’un joueur de seulement 22 ans et qui a encore sa carrière devant lui.
« Je pense que je m’étonne moi‐même par le professionnalisme dont je fais preuve sur le terrain et en dehors. Honnêtement, je ne pensais pas pouvoir atteindre un tel niveau. J’essaie de me concentrer, de rester calme, de rester stable et donc de ne pas avoir de hauts et de bas pendant un match ; j’en avais beaucoup lors des matchs que j’ai disputés l’année dernière. Je dirais ceci : je suis plus constant maintenant. Je peux jouer un bon tennis pendant deux, trois, quatre ou cinq heures. Et cela m’étonne moi‐même. »
Publié le vendredi 17 octobre 2025 à 19:45