

Carlos Alcaraz n’est pas du genre à plastronner, surtout avec entraîneur comme Juan Carlos Ferrero, prêt à lui ramener les pieds sur terre à la moindre occasion.
C’est notamment le sens sa déclaration dans son interview accordée à El Pais après son sacre à l’US Open et son retour à la première place mondiale.
« Je pense que la perfection n’existe pas ; on peut peut‐être s’en approcher, mais elle n’existe pas. Je garde donc les pieds sur terre en me rappelant qu’on peut toujours s’améliorer, qu’un autre joueur peut arriver, ou même Jannik Sinner lui‐même, qui pourra me dépasser et être meilleur que moi. Nous devons avancer au fur et à mesure, nous entraîner et nous améliorer chaque jour, et à partir de là, je sais que je ne serai jamais parfait. Il s’agit simplement de s’en approcher. C’est ce qui me motive. »
Publié le jeudi 11 septembre 2025 à 19:51