

A chaque tournoi du Grand Chelem son ambiance…
Roland‐Garros, c’est la poussière, le début de l’été et quelques chamailleries.
Wimbledon, ce sont les fraises, le blanc, et peu de dérapages sur les courts sauf quelques bruits de bouchons de champagne.
L’Open d’Australie, ce sont des rayons de soleil en plein hiver, des bars toujours remplies, des concerts, une grande foire à la saucisse avec de la bière qui coule à flot et des supporters très engagés mais jamais vraiment trop irrespectueux d’un sport qu’ils connaissent bien.
Et puis il y a l’US Open, son hystérie collective quand un Américain réalise un exploit, son bruit permanent, ses odeurs de marijuana et tout le bordel lié à une organisation souvent dépassée par les évènements.
D’ailleurs cette année, chaque tour nous propose une version plus « fun » que la précédente…
Et dire que certains observateurs nous parlent d’un tennis trop vieux, trop mièvre, qui intéressent personne.
Pas la peine de changer le format, le tennis est éternel, il évolue avec son temps et les tournois du Grand Chelem avec leur spécificité nous proposent à chaque fois un spectacle unique…
Publié le jeudi 28 août 2025 à 10:28