L'ATP et WTA peuvent-elles vraiment fusionner, ou même simplement collaborer ? L'optimisme était de rigueur dans le camp d'Andrea Gaudenzi, président de l'ATP. Pourtant, un récent communiqué refroidit l'euphorie générale. "La WTA et l'ATP ont convenu de poursuivre leurs discussions en début d'année prochaine concernant une éventuelle collaboration commerciale", ont indiqué les deux circuits dans un communiqué à Front Office Sports . "Il n'y a pas d'autres informations à communiquer pour le moment." Une froideur qui n'invite pas à l'optimisme.
Vidéo - ENTRETIEN Léolia Jeanjean sur Tennis Actu
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Une disparité de revenus qui fait coincer le deal ?
"À l’heure actuelle, ils n’ont jamais été aussi près de fusionner leurs actifs commerciaux. Ils sont sur le point de signer et de ne former plus qu’une seule entité commerciale", lâchait début octobre Stacey Allaster, PDG de l'USTA (fédération américaine). "Je suis optimiste, même s'il nous reste un mois et demi avant les finales ATP, car il reste quelques points à régler et, si nous parvenons à les finaliser, tout se mettra en place sans problème", déclarait Gaudenzi, également début octobre. Pas d'avancée depuis. Une situation bien curieuse, qui s'explique notamment par la différence de revenus générés par l'ATP et par la WTA Celui des hommes avait deux fois supérieur à celui des femmes en 2024...
